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© 2021 - Ingrid von Wantoch Rekowski - Lucilia Caesar
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In The Woods One Evening


Création basée sur des partitions d’Aperghis, Buckinx, Berberian, Deak, Dzuibak et Lachert

In The Woods One Evening Théâtre musical

In The Woods One Evening

Création basée sur des partitions d’Aperghis, Buckinx, Berberian, Deak, Dzuibak et Lachert

Dans In the woods one evening, trois acteurs donnent une interprétation toute particulière de partitions de compositeurs contemporains avec des feuilles, du gravier, des légumes et un piano. Détournés de leur usage quotidien, les objets et paroles sortent de leur carcan logique pour composer un univers étrange et loufoque. Un toussotement, des branches mortes piétinées, une branche de céleri grignotée, des olives dont on crache en rythme les noyaux, des soupirs s’intègrent à la partition et créent un univers étrange et drôle

Crédits

Conception et mise en scène : Ingrid von Wantoch Rekowski
Lumières : Nicolas Ankoudinoff
Maquillages : Joëlle Carpentier
Performeurs : Dominique Grosjean, Annette Sachs, Alexandre von Sivers

 

Production : Lucilia Caesar, Théâtre de la Balsamine (Bruxelles)
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Direction du Théâtre)

Presse

La jeune metteur en scène nous fait cadeau d’un spectacle absolument irrésistible. (…) C’est délicieusement déjanté et diablement bien maîtrisé.

(Le Soir, Christelle Prouvost 22/09/94)

 

In the woods one evening illustre avec pertinence et maîtrise l’intimité qui se crée entre les éléments fondamentaux de la représentation : l’auditif et le visuel, le sublime et le dérisoire, l’illusoire et le réel, le jeu et l’être des interprétés.

(Scènes Nr 4, Dominique Deloof, 06/20)

 

Dans ce galimatias génial et recherché mis en scène par IvWR, je retiens particulièrement ce que j’appellerais « concerto pour quatre mains au piano pour dégustation d’olives vertes », extrait érotico-sensuel hilarant.

(L’Edition locale, Jacques Duruisseau, 27/09/94)

 

In the woods one evening, et A-Ronne la petite merveille qui constituait la première incursion de la jeune femme dans la mise en scène.

(Le SoirJean-Marie Wynants, 05/11/96)

 

In the woods one evening et A-Ronne d’après une partition de Berio ont laissé en chacun une mémoire émerveillée.

(Le Soir, Michèle Friche, 13/05/98)